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J. Chim. Phys.
Volume 84, 1987
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Page(s) | 895 - 899 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/jcp/1987840895 | |
Published online | 13 June 2017 |
Désactivation de catalyseurs au nickel non supporté
Laboratoire de Chimie Organique Structurale, Université Paul-Sabatier, 31062 Toulouse, France.
Pour l’hydrogénation de l’hexène-1, avec le nickel réduit (préparé par action de Mg sur NiBr2 dans le THF), la présence de MgBr2 désactive partiellement le catalyseur; mais plusieurs lavages permettent sa réactivation. Par contre, l’addition de très faibles quantités de Hgl2 désactive totalement le nickel qui en outre ne peut plus être réactivé par lavages. Ce catalyseur étant constitué de cristallites de nickel CFC. d’un diamètre moyen de 4 nm, on observe que le nombre de molécules d’iodure nécessaires pour obtenir une désactivation totale et le nombre de sommets de ces cristallites sont du même ordre de grandeur.
Abstract
Addition of magnesium bromide to reduced nickel catalyst (obtained by reduction of nickel bromide with magnesium in tetrahydrofuran) decreases the catalytic activity for 1-hexene hydrogenation, but total deactivation does not occur even if molar ratio of halide became greater than nickel one. Moreover, the catalyst can be reactivated by several washings. On the other hand, a very small amount of mercuric iodide, drastically decreases the activity of the catalyst and washing cannot reactivate the metal. Preliminary electron microscopy studies have shown that this catalyst consists of nickel fccub microcristallites having a 4 nm average diameter. We found that the number of iodide molecules required for the total deactivation is close to the number of vertices of nickel cristallites.
© Paris : Société de Chimie Physique, 1987