N° 82. — Sur la « symétrie » de l’effet antagoniste

Institut de Chimie Physique de l’Université de Florence, France.

Résumé

On expose les résultats expérimentaux obtenus en mesurant la tension superficielle de l’eau, lorsqu’on y a immergé du quartz, et qu’on ajoute sur la surface liquide-air de petites quantités d’une substance tensioactive (glycine) ou bien inactive au point de vue capillaire.

Dans le cas de la substance tensioactive, on démontre l’existence de l’effet antagoniste, pareil à celui décrit par L. du Nouy. Dans le cas de la substance inactive, on démontre la « symétrie » de cet effet, c’est-à-dire que la tension superficielle s’établit sur une valeur constante, après avoir atteint un maximum.