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J. Chim. Phys.
Volume 61, 1964
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Page(s) | 729 - 732 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/jcp/1964610729 | |
Published online | 28 May 2017 |
Contribution à l’étude cinétique de la graphitation (2e Mémoire)
Laboratoire de Chimie Physique de la Faculté des Sciences de Bordeaux, France.
Un précédent mémoire (1) traite de la cinétique de graphitation d’un coke de brai, suivie entre 1 400 et 3 000°C, par la variation de sa susceptibilité diamagnétique.
L’étude cristallographique des échantillons précédemment définis (1), faite au moyen des rayons X, permet de suivre, en fonction du temps de traitement D et de la plus haute température (HTT) à laquelle l’échantillon a été traité, la variation des paramètres cristallins [math] et La ; [math] est le degré de graphitation défini par MAIRE et MÉRING comme étant le taux de couches ayant subi l’opération de graphitation et La représente le diamètre moyen des plans graphitiques (2).
Ces deux paramètres ont été déterminés en enregistrant les raies de diffraction (002) et (101) de chaque échantillon P2 (1), à l’aide d’un diffractomètre SECASI équipé d’un compteur à scintillations et d’une anticathode de cuivre (*).
(*) Le carbone prégraphitique, mélangé à de la colle très diluée est étendu d’une façon uniforme sur une petite plaquette de verre de façon à former une pellicule de 1/10 à 2/10 de mm d épaisseur. La plaquette est alors placée sur le goniomètre du diffractomètre.
© Paris : Société de Chimie Physique, 1964