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J. Chim. Phys.
Volume 69, 1972
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Page(s) | 951 - 958 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/jcp/1972690951 | |
Published online | 28 May 2017 |
L’utilisation de bases gaussiennes restreintes dans les calculs ab initio
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Laboratoire de Chimie Quantique, Celestijnenlaan 200 G, 3030 Heverlee, Belgique, Belgique.
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Centre Européen de Calcul Atomique et Moléculaire, CECAM, Bâtiment 506, 91 -Campus d'Orsay, France., France..
Nous décrivons un procédé non empirique LCGO—SCF—MO dans lequel la dimension des bases gaussiennes mixtes utilisées est choisie en fonction du type d’intégrale à calculer. L’analyse des grandeurs moléculaires obtenues pour le méthane et l’éthane suggère de décrire les orbitales 1s de l’hydrogène et les orbitales 1s, 2s et 2p du carbone respectivement par 3, 5, 2 et 3 gaussiennes lorsqu'elles interviennent dans les termes monoélectroniques et par 3, 2, 2 et 2 gaussiennes quand elles apparaissent dans les intégrales biélectroniques.
Abstract
A non empirical LCGO — SCF — MO method, for which the size of the mixed gaussian basis is chosen dependent on the type of integral to be evaluated, is described. From the computed properties in methane and ethane, we are lead to decide in favour of the following gaussian representation : for the 1s hydrogen orbital, the 1s, 2s and 2p carbon orbitals, respectively 3, 5, 2 and 3 gaussian functions are used when they are concerned with monoelectronic terms while 3, 2, 2 and 2 corresponding gaussians are selected in bielectronic integrals.
© Paris : Société de Chimie Physique, 1972